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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Tous, tous egaux

Tous, tous egaux

Pantoum en octosyllabes

 

Tous, tous égaux

 

L’un né fils de roi,  fils de joie

Droits de l’homme, oh  toi justice

Il ne sera roi, non  ma foi

Né pauvre de l artifice

 

Droits de l’homme, oh  toi justice

Que fais tu pour te révolter

Né pauvre de l’artifice

Il n’a que ses yeux pour  pleurer

 

Que fais tu pour te révolter

Contre cette  entourloupe

Il n’a que ses yeux pour pleurer

De ne pouvoir  s’indigner

 

Contre cette  entourloupe

Qui t’offre de rester petit

De ne pouvoir  s’indigner

Abdique, ne sois pas soumis

 

Qui t’offre de rester petit

Ton égalité,  trouve la

Abdique, ne sois pas soumis

Petit libre, mieux vaut cela

 

Ton égalité,  trouve la

Rien ne t’empêche d’être riche

Petit libre, mieux vaut cela

Que nanti l’esprit mis en  friche

 

Rien ne t’empêche d’être riche

Il y a des richesses  plus pures

Que nanti l’esprit mis en  friche

Comptant sur leur âme blessures

 

Il y a des richesses  plus pures

Leur psychiatre cherche l’erreur

Comptant sur leur âme, blessures

Dans leur trésor de fossoyeur

 

Leur psychiatre cherche l’erreur

Il panique, crie d’injustice

Dans leur trésor de fossoyeur

Ils pensent  futur préjudice

 

Il panique, crie d’injustice

Riche pourquoi devoir mourir

Ils pensent  futur préjudice

Leur trésor, ne pourront ravir

 

Riche pourquoi devoir mourir

Les  humains naissent tous égaux

Leur trésor, ne pourront ravir

L’égalité, son dernier mot

 

Les  humains naissent tous égaux

Tous oui! Quant la mort les reçoit

L’égalité, son dernier mot

Petit n’est peur, tous, tous  égaux

☼ƑƇ

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