18 Juillet 2016
Chant royal –
cinq onzains et 1 quintil
en décasyllabes
Forme = ABABCCDDEDE1(5 fois) -DDEDE1
Cher Président quel est prix de ma vie
Il est ma vie à se trouver lucide
Pour vivre paix, dans un pays heureux
Où bonne gens ne soient jamais cupide
De bonne foi menons le rigoureux
Quand sage vouloir doit être armatures
Débarrassé de toutes les aventures
Nous trouverons le meilleur grand profit
D'une santé de l'art que l’on chérit
Quand une voix édicte consigne
Je vous promets le plus de l'inédit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Comment poser un gage fort limpide
Si les chemins mènent au malheureux
D'un long transport d'un voyage morbide
Il vous surprend d'un ton aventureux
Vous ne pouvez sortir de ces bordures
Quand dans l'ailleurs se meurent les boutures
Où dangers seront à votre débit
Et leurs discours fourbis sont leur maudit
Se veulent-ils être ce fourbe indigne
Le vrai voulons quand notre cœur subit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Où sont les fruits qu'on ne songe au perfide
Cueillir voulons et profiter du généreux
Notre dur travail doit être doux subside
Sans devoir fou tuer le spécieux
De la bonté qu'offre justes droitures
Fraternité tu n'est ces impostures
Mais cette clef qui révoltée s’enfuit
Loin des tourments qui sortent de leur réduit
Nous sommes prêts que l'on nous assigne
De prendre part au signe du grand profit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Dépossédés du jamais impavide
L'impôt dément par trop infructueux
Nous ne le voulons tribut trop cupide
Trop dangereux pour un moral hargneux
Là il défend l’antre des morsures
Faites au grand tord de leurs folles blessures
Tout est caché pour vaincre le mot dit
Un conscient d’esprit n’a d’appétit
Dont le mental en sa douleur s'indigne
Son grand désir trouver signe qui doucit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Je me voudrai que doux l'on égratigne
Le mauvais goût des politiques véreux
Marchant droit dans notre grande guigne
Que leur égo voit sain d'un air pompeux
Ils n'ont tracas de leur mandat de parjures
Pour le tout faux dire sans déchirures
Quand le bon oui fait défaut comme délit
Il leur faut rejeter ce qui détruit
Et nous offrir le bon de leurs consignes
Notre moral doit y trouver crédit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Ma vie Président qui la garantit
Je me réjouis que malheur me fuit
Avant que survie me soit frayeur indigne
Je me voudrai sortir de ce défit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
☼ŦC